VIRGINIE EFIRA LA BEAUTÉ DU DIABLE
« Le cinéma, ce n’est pas la mode. » À l’écran, Virginie Efira défend la mise en lumière des corps avec leurs rondeurs et leurs défauts. Mais, pour apparaître nue dans le film de Paul Verhoeven qui fait rimer érotique avec mystique, elle confesse, de bonne foi, s’être pliée à la religion de la norme. Dans la vie, pourtant, pas question de céder au culte des apparences : elle nous raconte le « regard sincère » que porte sur elle son compagnon, l’acteur Niels Schneider, et leur « amour véritable ».
« Pour “Benedetta”, j’ai été choisie sans passer d’essais. Il fallait que j’aie confiance pour tout donner »
« Parmi tous mes complexes, il y avait celui de la blonde avec des formes alors que j’aurais voulu être Charlotte Gainsbourg »
Paris Match. “Benedetta” sera en compétition à Cannes. Quel pire et quel meilleur souvenir gardez-vous du Festival ?
Dans mes yeux d’enfant, c’était Hollywood, j’en rêvais. J’y suis allée souvent en touriste, essayant sans succès d’entrer dans des soirées.
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