Jusqu’où partager sa vie sur les réseaux sociaux ?
se remémore Alix D. Reynis, créatrice d’objets en porcelaine et de bijoux raffinés. Le compte de sa marque a beau flirter avec les 38 000 abonné·es, depuis quelques semaines, il la rend soucieuse : confie-telle. Alix D. Reynis n’est pas la seule à éprouver des réserves grandissantes vis-à-vis d’Instagram. Les réseaux sociaux n’en finissent plus d’avoir mauvaise presse. En 2020, le documentaire démontait les mécanismes de de nos vies et avertissait des conséquences : addictions et radicalisation du débat politique. Dans son dernier livre , Delphine de Vigan dresse le portrait au vitriol d’une famille influenceuse. Les fans se comptent par millions, les cadeaux des marques pleuvent, mais c’est toute la vie des deux enfants, youtubeurs stars, qui se trouve partagée sur Internet. analyse Michaël Stora, psychologue psychanalyste . Un effet pervers également souligné par le roman d’Éliette Abécassis , où un groupe d’adolescents s’essaie à des
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