Tout le monde ne court pas après les abonné·es sur Instagram ou Twitter: en marge de notre société hyperconnectée, certain·es préfèrent en effet rester dans l’ombre. Consciente des bénéfices des réseaux sociaux, cette minorité ne s’en coupe pas toujours complètement mais veille à y demeurer discrète et s’en protège avec soin. Et si on s’inspirait de cette “hygiène numérique”?
Juliette, 41 ans, a des comptes sur YouTube et Twitter, Clémence, 24 ans, se limite à un compte instagram privé et s’en éloigne dès qu’elle en ressent le besoin. Elle aimerait quitter la plateforme, Paloma, 20 ans, a fermé son compte après deux ans d’utilisation: Juliette, Clémence et Paloma ont un usage raisonné des réseaux sociaux. Quinze ans après l’arrivée de Facebook en France, la prudence est de mise face à ces plateformes devenues incontournables. Les