RENAUD MUSELIER LE FRANC-TIREUR
« J’ai résisté aux pires des voyous, aux Guérini, au système mafieux, aux menaces… Et on croit me faire peur ! »
La politique, assure le docteur Muselier, c’est comme la médecine. Quand un patient vient vous voir avec un problème personnel, il vous parle, vous l’examinez et vous lui proposez un traitement. S’il va mieux, il revient chez vous. En politique, le corps social remplace l’individu…» Au dernier étage du conseil régional, dans son bureau tout en lambris, le directeur de deux cliniques réputées en neurologie, où sont traités des traumatisés crâniens et des paralysés, livre son diagnostic dans un éclat de rire : « Cette semaine, on est entré dans l’hystérie et la psychiatrie ! »
Un psychodrame en trois actes: annonce d’un accord Macron-LR en Paca, zizanie à droite, puis annonce de la candidature Cluzel, la secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées. « Tout est parti en biberine », résume Renaud Muselier en recourant à une expression typiquement marseillaise, clin d’œil à une confiserie locale ancienne. Dernier rejeton
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