Devine qui vient dîner ?
epuis dix jours, ces dîners clandestins auxquels certains ministres auraient participé se sont transformés en orgie médiatique. Décriée par les uns – trop de place accordée à des sujets secondaires –, mais saluée par les autres, qui y voient une nouvelle démonstration d’une société hystérisée, traversée par un sentiment d’injustice et de peur du déclassement, et épuisée par une année Covid. Cet épisode éprouvant, quoi que nous en pensions, décrit une société durablement allergique
