And the beast goes on…
Nov 27, 2019
3 minutes
Par XAVIER BONNET
eur album le plus abrasif. Leur album grunge… Que n’a-t-on pas dit de à sa sortie à l’automne 1994 au prétexte qu’il délaissait singulièrement une certaine accessibilité plus pop sur ses deux prédécesseurs, et , en tout cas sur les “Losing My Religion”, “Man on the Moon” ou “Everybody Hurts” qui allaient porter au pinacle de la notoriété la bande des quatre d’Athens, Georgie? Et tout ça – en grande partie tout du moins – à cause de l’omniprésence des guitares de Peter Buck sur ce acerbe et acéré à souhait, une ubiquité sur la nature du pari perdu par ses collègues d’alors pour avoir autant permis à notre homme de tordre et pincer aussi allègrement ses cordes. , assure Mike Mills.
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