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02 - Les révolutions dans la pensée et dans l'histoire des faits

02 - Les révolutions dans la pensée et dans l'histoire des faits

DeMondes francophones (2019-2020) - Yadh Ben Achour


02 - Les révolutions dans la pensée et dans l'histoire des faits

DeMondes francophones (2019-2020) - Yadh Ben Achour

évaluations:
Longueur:
89 minutes
Sortie:
15 nov. 2021
Format:
Épisode de podcast

Description

Yadh Ben AchourCollège de FranceMondes francophones (chaire annuelle 2019-2020)Année 2021-2022L'axe central de cette conférence consiste à examiner les conditions générales d'une révolution et sa place entre la pensée théorique et les flux historiques. Un examen particulier sera consacré aux révolutions indépendantistes classiques aux États-Unis, en Argentine, au Brésil et au Mexique. Les révolutions indépendantistes « nationalitaires » feront l'objet d'un examen séparé à partir des cas grec, irlandais, indien, vietnamien, algérien et de certains pays africains. Seront également analysées les violences autour des révolutions, c'est-à-dire la répression antirévolutionnaire, la « militance » révolutionnaire, les violences des gouvernements révolutionnaires, la guerre civile et enfin la guerre internationale.
Sortie:
15 nov. 2021
Format:
Épisode de podcast

Titres dans cette série (9)

Le Pr Yadh Ben Achour est né le 1er juin 1945 à la Marsa, dans une famille de lettrés issus de l'université historique de la Zaytouna de Tunis. Il a poursuivi des études de droit entre 1964 et 1969 à Tunis, puis à Paris. En 1974, il obtient son doctorat d'État en droit public sous la direction du Pr Georges Burdeau. Depuis, il a poursuivi une carrière universitaire et a occupé, entre 1993 et 1999, le poste de doyen de la faculté des sciences juridiques à l'université de Carthage. Durant sa carrière universitaire, il s'est spécialisé en droit public interne et international et dans la théorie politique islamique. Désigné en 1988 comme membre du Conseil constitutionnel tunisien, il en démissionne en 1992 pour protester contre la tentative des autorités de liquider la Ligue tunisienne des droits de l'homme, par l'intermédiaire d'une réforme de la loi sur les associations. Après la Révolution, il est désigné président de la Haute Instance de réalisation des objectifs de la révolution, dont la mission essentielle consistait à libéraliser le système politique et préparer les élections de l'Assemblée nationale constituante. Il est actuellement membre de l'Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts.