La folie de la surveillance... comment contourner ?

Par 'Herr Meier'

Fatigué de la surveillance ! Vous trouverez ici des conseils sur la manière de contourner la surveillance, certes étatique mais hautement criminelle, dans vos domaines personnels. Dans ce livre, Monsieur Meier ne mâche pas ses mots et dénonce la surveillance honteuse du citoyen tout en l'aidant à s'en protéger le mieux possible et à préserver ainsi ses droits de citoyen.

• Langue: Français
• Éditeur: Bernd Michael Grosch
• Date de sortie: 18 mai 2024
• ISBN: 9798224494958

Aperçu du livre

La folie de la surveillance

... comment contourner ?

'Herr Meier'

Mentions légales

Textes :   © 'Herr Meier'

Couverture : © 'Herr Meier'

Édition : bmg-new-media

Ludwig-Zellerstr. 24

83395 Freilassing

E-Impression : 'bmg' for D2D

(De l'allemand par 'bmg' à l'aide d'un A I)

Imprimé en Allemagne

Pourquoi la surveillance ?  Pourquoi avoir peur de son propre peuple ?

La Révolution française de 1789 à 1799 devait balayer la classe dominante de l'époque au nom de l'égalité, de la liberté et de la fraternité, et donner aux gens certains droits fondamentaux.

La révolution d'octobre 1917 a sonné la fin de l'autocratie tsariste et a promis en principe la même chose.

Les dirigeants d'aujourd'hui fondent leur droit à ce même pouvoir sur les événements de ces révolutions.

Il s'agirait de : L'assassinat ou la privation de liberté des détenteurs légitimes du pouvoir à l'époque et l'appropriation de ce pouvoir par des moyens violents.

A notre époque, les dirigeants actuels ne se comportent pas différemment de l'aristocratie de l'époque et craignent à juste titre que les populations s'arrogent les mêmes droits que les peuples de l'époque et fassent changer les choses par la force, puisque cela devrait être automatiquement légitimé par les rapports de force actuels.

Ainsi, afin d'anticiper une révolution (à mon avis malgré tout inévitable), les dirigeants font tout pour tenir le peuple par la bride.

Il s'agit notamment

Par la désinformation. En réduisant l'enseignement scolaire, en diffusant de fausses informations par le biais d'un monde médiatique aux ordres. Par des priorités arbitraires dans la vie quotidienne et la politique.

En créant la peur. En décrivant, comme un moulin à prières, les prétendus dangers qui menacent la population, qu'ils proviennent de leurs propres rangs ou de forces étrangères. Des scénarios de guerre sont élaborés et ruminés jusqu'à ce que tout soit ancré au plus profond de l'être humain et que celui-ci se sente protégé par les 'autorités' et donc dépendant d'elles.

La surveillance. Pour garantir l'efficacité de tous les moyens mis en œuvre, il faut bien sûr une surveillance globale.

Ce qui est vraiment honteux, c'est que l'on réussit à convaincre les gens que c'est pour le bien de la population elle-même et que cela ne sert qu'à la protéger. C'est ainsi que les différents groupes de population sont montés les uns contre les autres et incités à diviser pour mieux régner. L'idée est la suivante : si la population est occupée avec et contre elle-même, elle nous laissera plutôt tranquilles et ne cherchera plus le vrai responsable d'une situation difficile.

Bien entendu, il y a toujours eu et il y aura toujours des personnes qui voient clair dans ce jeu et qui font tout pour informer correctement les gens. C'est ce que le pouvoir doit empêcher par la surveillance et la mise hors d'état de nuire des 'malfaiteurs'.

Qui surveille ?

La réponse à cette question semble claire : les représentants des autorités comme la police et les services de sécurité privés. Mais les choses ne sont pas si simples, car en raison des lois qui autorisent les autorités à accéder aux données partout et à tout moment, chaque vendeur de chaussures ou exploitant de télécabine peut être considéré comme un surveillant. Oui, tout vendeur de glaces qui accepte votre carte bancaire ou autre. L'opérateur téléphonique chez qui vous avez enregistré votre téléphone portable déterrera des preuves que vous n'étiez pas chez votre tante Elfriede à Bielefeld