Les followers de Megan: La Serie Megan, #5

Par Owen Jones

Les followers de Megan

Un guide spirituel, une tigresse fantôme et une mère effrayante!

Megan est une fille de 13 ans avec des pouvoirs surnaturels. Certains d’entre eux ne sont encore que partiellement développés et d’autres fonctionnent, mais elle ne sait pas comment les utiliser pour le moment.

Ses plus gros problèmes du moment sont, d’une part, de trouver un professeur qui peut lui montrer comment les utiliser proprement, et d’autre part, elle ne connaît personne qui connaisse quoi que ce soit par rapport aux pouvoirs surnaturels.

En fait, sa mère est violemment contre le surnaturel, comme c’était le cas de sa mère avec elle-même. Les seules personnes qui semblent partantes pour l’aider sont mortes, même si cela ne fait aucune différence pour Megan.

Elle accueille leur aide à bras ouverts.

Les followers de Megan fait référence à ses abonnés sur Internet. Depuis qu’elle a tout juste 13 ans, ses parents et les sites multimédias lui permettent désormais d’utiliser ces derniers. Alors, elle s’ouvre des comptes sur Twitter, Facebook et LinkedIn.

Wacinhinsha lui enseigne la communication et la façon dont cela peut être perçu par un guide spirituel.

• Langue: Français
• Éditeur: Megan Publishing Services
• Date de sortie: 24 août 2022
• ISBN: 9781667428833

Aperçu du livre

LES FOLLOWERS DE MEGAN

Un guide spirituel, une tigresse fantôme et une mère effrayante!

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par

OWEN JONES

Traduit par

Sandra Ouellet

Copyright © mars 19, 2022 par Owen Jones

Les followers de Megan

par Owen Jones

Publié par Megan Publishing Services

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Les droits d’Owen Jones d’être reconnu comme l’auteur de cet ouvrage sont protégés conformément aux articles 77 et 78 du Copyright Designs and Patents Act 1988 (loi de 1988 sur les droits d’auteur, les dessins, les modèles et les brevets du Royaume-Uni). Le droit moral de l’auteur est protégé.

Dans cet ouvrage de fiction, les personnages et les événements sont soit le pur produit de l’imagination de l’auteur ou sont entièrement utilisés fictivement. Certains lieux peuvent exister, mais les événements sont complètement fictifs.

Tous droits réservés.

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Autres courts romans dans la même série :

La série Megan

Un guide spirituel, une tigresse fantôme et une mère effrayante !

La méprise

Les treize ans de Megan

Le voyage scolaire de Megan

Les examens scolaires de Megan

Les followers de Megan

Megan et le chat perdu

Megan et la mairesse

Megan fait face à la dérision

La visite des grands-parents de Megan

Le père de Megan tombe malade

Megan part en vacances

Megan et le voleur

Megan et le cycliste

Megan et la vieille dame

Le jardin de Megan

Megan va au zoo

Megan part en randonnée

Megan et le concours de cuisine W. I.

Megan fait de l’équitation

Megan fait de la voile

Megan au carnaval

DÉDICACE

Cette édition est dédiée à mon ami Murray Bromley, qui m’a aidé, moi et ma famille thaïlandaise plus qu’il ne le réalisera jamais en 2013.

Le karma remboursera tout le monde de manière juste.

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TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

1 La surprise

2 Les médias sociaux

3 Les avantages et inconvénients

4 Jane et Rod

5 Wacinhinsha

Glossaire

Les rejetés

REMERCIEMENTS

Les remerciements vont à l’artiste qui a dessiné la couverture pour moi,

Jacqueline Chavarria

1 LA SURPRISE

C’était un samedi matin lors d’une longue fin de semaine. Megan se réveilla d’un rêve dans lequel elle se trouvait sur la plage avec son grand-père, le père de sa mère, qui était décédé avant qu’elle ne vienne au monde, mais qu’elle avait toujours vu assez souvent, pour un mort. Ils s’étaient rendus sur une plage qu’il lui avait montrée auparavant, lors de sa première leçon qu’elle n’avait jamais eue à propos du vol, ou du vol astral, comme ils l’appelaient.

Elle aimait la sensation de liberté que cela lui procurait. Elle était ravie d’être à présent capable de se souvenir où elle était allée et avec qui, si elle n’y était pas allée seule. Cette faculté de se souvenir était un développement assez récent, dont on lui avait dit de s’attendre à ce qu’elle s’habitue à accomplir ce nouveau truc comme elle y pensait encore, malgré qu’on lui ait dit à maintes reprises qu’il s’agissait de quelque chose d’assez ordinaire que tout le monde pouvait, ou vraiment arrivait à faire régulièrement. Le « truc », s’il y en avait un, c’était de se souvenir où l’un avait été et ce qu’il y avait fait.

Megan n’était pas le genre de personne à faire la grasse matinée, surtout lorsque le soleil passait au travers des rideaux ouverts. Alors, elle se leva, enfila son peignoir et ses pantoufles, descendit les escaliers en suivant la splendide odeur de bacon cuit. À l’école, on l’avait informée dans une de ses classes du danger de manger trop de viande et du cholestérol. Cependant, un déjeuner traditionnel de flocons de maïs, suivi de bacon et d’œufs, de rôties et de thé demeurait son repas préféré de la journée. Elle aimait l’odeur du café, mais elle n’avait pas le droit d’en boire avant ses seize ans, puisque sa mère avait eu une idée que cela pourrait être nuisible à une jeune personne.

Elle n’était pas certaine si cela était vrai, tout comme elle ne croyait pas que la viande pourrait faire du mal, surtout pas lorsqu’on était une jeune adolescente active et en croissance. Les adultes avaient de drôles d’idées, pensait-elle parfois. Les gens n’avaient-ils pas mangé ces choses pendant des siècles ? Pour Megan, il était évident que ce n’était pas le cholestérol qui tuait les gens, mais le manque d’exercice. Toutefois, elle n’aimait pas dire quoi que ce soit. Travailler à un bureau était difficilement la même chose que travailler derrière une charrue. Elle pensa que cela était assez évident.

Elle ouvrit la porte du salon et vit ce à quoi elle s’attendait : son père lisant le journal à la table, avec son déjeuner devant lui, et sa mère à la cuisine, affairée à cuisiner et nettoyer.

« Bon matin, Papa », le salua-t-elle, puis « Bon matin, Maman », un peu plus fort pour qu’elle puisse l’entendre par-dessus le bruit de l’eau coulant du robinet.

« Bon matin, Megan. Tu as bien dormi ? »

C’était sa salutation habituelle lorsqu’il lisait le journal ; il le baissait sous sa ligne de vision, juste