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On abat bien les seniors
On abat bien les seniors
On abat bien les seniors
Livre électronique77 pages29 minutes

On abat bien les seniors

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À propos de ce livre électronique

Martine Lozano dans son ouvrage, On abat bien les seniors évoque la situation des seniors pas toujours enviable ! Si le vieillissement de la population et le doublement du nombre de personnes âgées de 85 ans et plus (une population fragilisée) constituent un progrès dans une société, cette situation ne doit pas se régler par un tour de passe passe ainsi que par le transfert vers des assurances privées pour ceux qui en ont les moyens car la dépendance est l’affaire de tous et doit dépendre d’un grand service public organisé. L’Etat doit s’engager réellement dans le cadre du Plan solidarité grand âge. Qui peut se payer une maison de retraite ? Dans la même logique le senior au travail est maltraité car le patronat s’en débarrasse par des méthodes de voyous !
LangueFrançais
Date de sortie2 oct. 2015
ISBN9782312035765
On abat bien les seniors

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    On abat bien les seniors - Martine Lozano

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    On abat bien les seniors

    Martine Lozano

    On abat bien les seniors

    img1.jpg

    LES ÉDITIONS DU NET

    22, rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

    © Les Éditions du Net, 2015

    ISBN : 978-2-312-03576-5

    Introduction

    Comment notre société traite les seniors :

    Personne aujourd’hui ne peut dire qu’il ne savait pas

    « Le terme (senior), signifie plus âgé (d’origine latine) ! Il désignait aussi les guerriers romains les plus âgés. (les valeureux et les respectables) !

    Ce terme a connu des évolutions : de (seigneur) pour désigner les maîtres ! (señor) en espagnol pour désigner l’homme. Or de nos Jours le senior est un individu de plus de 50 ans ! Mais aussi (troisième âge) ! »

    Chapitre 1 : seniors et travail

    LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL EST UNE MALTRAITANCE !

    Souffrance et harcèlement au travail : Présente dans les livres d’Arthur Miller « mort d’un commis voyageur », la souffrance au travail extrême réapparaît aujourd’hui dans la société.

    Au moment où un homme de 55ans magasinier et employé depuis 29 ans s’était suicidé en juillet 2007 sur son lieu de travail. Le journal « Le Monde » fait remarquer qu’il s’agit du sixième suicide au sein du groupe. Le journal « l’Humanité » l’explique par les conditions de travail.

    Pour libération « le rapport entre travail et suicide fait désormais débat, longtemps tabou ».

    En effet pour de nombreuses activités, la quantité du personnel a été divisé par quatre avec la même productivité et de ce fait le climat de travail s’est dégradé avec des pressions qui peuvent s’apparenter à des menaces y compris sur les arrêts maladie sans compter l’isolement des salariés, la suppression généralisée des pauses, le stress au travail. Les suppressions d’emplois à répétition et la mise en concurrence des salariés par l’individualisation vont créer une désespérance. L’organisation du travail génère du stress (plan chronométrage pour gagner des gains de productivité et supprimer des postes de travail)

    Dans le film Discount de Louis-Julien Petit avec Olivier Barthelemy, Corinne Masiero, la plus âgée, est licenciée.

    « Subissant des conditions de travail difficiles, et menacés de licenciement (menacés par des caisses en libre-service), les employés d’un supermarché de type hard-discount décident en autogestion de monter un magasin parallèle en se fournissant dans les stocks de leur employeur parmi les marchandises devant être gaspillées du fait de la date limite de consommation et du modèle d’entreprise de la grande distribution. »

    Dans la même logique, les primes à la production, toujours bonne à prendre par ces temps qui

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