Dossiers vaccination et politiques vaccinales: Les dossiers Morphéus

Par Editions Morphéus

La vérité sur les pratiques mondiales en matière de santé et de vaccination.

La poule aux œufs d’or.

En matière de santé, il existe un irréductible conflit entre le pasteurisme, qui vise à détruire les microbes, et la médecine traditionnelle de Béchamp et Claude Bernard qui vise à résorber les déséquilibres physiologiques et immunitaires à l’origine de ces mêmes microbes.

L’allégorie du marécage résume bien la situation. Un marécage génère des moustiques. Pasteur (chimiste) s’acharnera à détruire les moustiques sans trop se soucier du marécage. Béchamp et Claude Bernard (physiologistes) se consacreront à assécher le marécage afin qu’il n’y ait plus de moustiques. Selon leur formule, « le microbe n’est rien, le milieu est tout ! »

La pénicilline et les antibiotiques constituent une solution d’urgence dans le cas de prolifération invasive de virus et de bactéries, c’est un fait. Mais sans la prise en charge de l’amélioration des défenses immunitaires naturelles, les déséquilibres vont engendrer des virus et bactéries mutants résistants à tout. C’est le principe du moustique survivant à l’insecticide. Il va engendrer une génération de moustiques immunisés contre l’insecticide. Ce sera une guerre bactério-chimique sans fin.

Or, une guerre sans fin est une rente à vie pour qui fabrique les chimies tueuses. Le mythe pasteurien est donc très soigneusement entretenu, car c’est une véritable poule aux œufs d’or. C’est une poule qui coûte cher en vies humaines, mais qui a comme bonnes fées des cartels bancaires associés aux industries pharmaceutiques. Et, vous allez voir, à la lecture de ces textes, à quel point elle résiste à tout, car la poule est toujours vivante et plus vivace que jamais…

Plongez-vous dans un dossier riche en analyses et commentaires sur la gestion des vaccins et les politiques vaccinales mises en place par nos dirigeants.

EXTRAIT DE La Cour des comtpes au service de la politique vaccinale

Comment creuser le déficit de la Sécu avec des vaccins poison, des carnets électroniques inutiles ou des biopuces ?
Après le fiasco de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 et face à la réticence de plus en plus prononcée des Français à se faire vacciner, la Cour des comptes s’est penchée, à la demande des parlementaires, sur la stratégie nationale de vaccination.
Après avoir rappelé en préambule que la vaccination « a été un outil essentiel de la disparition dans notre pays des grandes pandémies qui ont marqué le passé », la Cour des comptes a rendu public en février 2013 son rapport déplorant le manque de cohérence de la politique vaccinale française. Les résultats sont poliment qualifiés de « contrastés » au regard des 400 millions d’euros dépensés chaque année par la collectivité pour rembourser ces vaccins. Les objectifs vaccinaux établis dans une perspective quinquennale, en annexe de la loi de Santé publique du 9 août 2004, ont été définie « de manière trop uniforme et leur degré de réalisation a été décevant dans le cadre national comme au regard des comparaisons internationales ». L’objectif de couverture de 95 % de la population générale n’a été que « partiellement évaluable ».

• Langue: Français
• Éditeur: Morphéus
• Date de sortie: 25 oct. 2018
• ISBN: 9782953066494

Aperçu du livre

LES DOSSIERS MORPHÉUS

VACCINATION

et

POLITIQUES

VACCINALES

Éditions

COLLECTION

LES DOSSIERS DE MORPHÉUS :

Antigravité et physique scalaire (à paraître en 2018)

Contrôle de la pensée (à paraître en 2018)

Culture celto-nordique (à paraître en 2018)

AUX ÉDITIONS MORPHÉUS :

Industrie vaccinale, Dr Marc Vercoutère

Jeu de Banque$, du Koweïtgate à Clearstream, Christian Basano

Présence, Ovnis, Crop Circles et Exocivilisations

Soyez tenus au courant des sorties de nos publications :

www.morpheus.fr/news

ISBN : 978-2-9530664-3-2

© Éditions Morphéus, 2018. Tous droits réservés.

Illustrations pages intérieures :

René Bickel & Anna Guégan.

PAO : Marc Henninot

Morphéus Sarl – Lieu-dit l’Hôpital

56430 Néant-sur-Yvel

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TABLE DES MATIÈRES

Préface de l’éditeur

Les libertés individuelles face à l’obligation vaccinale

Comment continuer à accepter que les vaccinations soient imposées ?

La terreur vaccinale

Contamination mondiale des vaccins par le virus SV40

« On a frôlé la catastrophe… » selon l’OMS

Du génie à la folie génétique de quelques chercheurs avides de gloire…

… À deux prix Nobel récompensant la folie génétique

Le SV40 retrouvé dans des cancers du cerveau et dans les cancers de la plèvre

Un rétrovirus cancérigène et infectieux : les cas dramatiques d’Alexander aux USA et de Typhaine à Paris

Parmi d’autres dossiers, l’histoire dramatique d’une jeune fille décédée à l’âge de 10 ans d’un cancer du cerveau nous paraît éloquente.

Un rétrovirus cancérigène et infectieux présent dans une grande variété de cancers

Indifférence, incompétence, hypocrisie, voire cynisme des autorités…

Hippocrate contre les hypocrites

Vaccins : 100 fois la dose

Comment sont fabriqués les vaccins ?

Mode d’emploi

L’usage de cellules cancérisées

Le Jus de culture

Des ramassis d’horreurs

Les Français sont-ils des veaux ?

Le dogme vaccinaliste n’est pas une « erreur » scientifique.

Un secret ésotérique ?

Le mal français

Le BCG altère les capacités mentales

Offensive vaccinaliste

Le pantin malgré lui

Un vaccin contre l’âme humaine

Vaccinations : arrêtons les dégâts

Témoignage de médecins

Majeur et vacciné

Virus et armée

Institut Pasteur-Rothschild

Pasteur et la République

Rituel salvateur

Diatribe vaccinale

Offre « 220 000 $ » à tout médecin diplômé qui boira cette fiole

À qui s’adresse cette offre ?

Organisons un Vaccinathon !!!

Pots-de-vin au ministère de la Santé en échange d’une campagne de vaccination

Vaccinations : Bush recule face à une levée de boucliers des hospitaliers

Vaccination contre l’hépatite B, essai de bilan chiffré

Guerre d’influence contre l’avocate Gisèle Mor

Béchamp ou Pasteur ?

Scandale vaccinal à l’OMS

Tour de passe-passe vaccinal

Pasteur et la peine de mort

Beaujolais nouveau, Vaccins nouveaux…

Une efficacité incertaine à géométrie variable !

La toxicité de la vaccination minimisée

C’est quoi au juste un vaccin ?

Comment fabrique-t-on les vaccins ?

Les vaccins nous protègent-ils vraiment ?

Laborieuse gestion de la grippe aviaire

Les antiviraux : une arnaque très rentable, mais dangereuse

Guère plus efficace qu’un placebo pour la grippe humaine

Mais non dépourvu d’effets secondaires

L’OPA de Roche sur la grippe aviaire

Mutations et phénomène de commutation

Effets pervers de l’élevage intensif

Contamination proportionnelle à la densité démographique

Courants vagabonds, lampes halogènes et pollution électromagnétique

Des solutions efficaces et des traitements peu coûteux contre la grippe aviaire

GlaxoSmithkline condamné !

Le vaccin hépatite B cause la sclérose en plaques !

Vaccin antigrippe : danger !!!

Vaccinations — Demande d’abrogation de l’article 27

Vaccinations témoignages

Vers un moratoire pour les vaccinations ?

Robert Kennedy contre le mercure des vaccins

Régénération biologique

L’OMS mise en accusation

Une épidémie de polio due au vaccin !

Action en justice des victimes du vaccin contre l’hépatite B

Vaccin hexavalent : danger !

Un vaccin hexavalent retiré du marché

130 000 $ à gagner facilement au premier médecin qui boira en public un mélange composé des ingrédients qui se trouvent dans les vaccins

Exposition inédite des victimes de vaccins

Vaccin contre le papillomavirus

Merck, fabricant du Gardasil, condamné pour mensonge aggravé au sujet du Vioxx

Vaccin contaminé au H5N1

Un remède pire que le mal !

Adjuvant MF59 et Commutation

Vers une vaccination systématique ?

Services de santé de la banque mondiale en folie ou incompétents ?

La rumeur de Moscou

Vaccination mondiale, faire face au terrorisme vaccinal du N.O.M.

Mystérieux virus et traitements qui font peur !

« Grippe : des vaccins qui font peur ! »

« Tamiflu un antiviral qui fait peur ! »

Le gouvernement polonais refuse l’achat de vaccins H1N1, par la Dre Ewa kopacz, ministre polonaise de la Santé

Analyse du livre Vaccins, un génocide planétaire ?, par le Dr Christian Tal Schaller

L’OMS enfin sur le grill ?

Les parlementaires danois outrés par le Comité secret de l’OMS

Les laboratoires préparent de futures vaccinations obligatoires ?

Campagne vaccinale universelle saison 2010-2011

Vaccin hépatite B et déni de justice

Vaccins : seuil toxique du mercure et de l’aluminium

Vaccinations : moratoire pour l’aluminium… mais davantage de vaccins obligatoires, par le Dr Marc Vercoutère

Moratoire sur la présence d’aluminium comme adjuvant

Rendre obligatoires certains vaccins

Rechercher l’efficacité du vaccin contre le cancer du col

Nos députés ignorent-ils qu’un moratoire sur ce vaccin a déjà été demandé en Espagne en 2007 ?

Autre inflexion souhaitée par nos députés :

Autisme et vaccinations

Supercherie vaccinale de Merck dénoncée par deux de ses virologues

Mediator et vaccin Hépatite B : mêmes objectifs ?

Pollutions vaccinales

Vaccination : délit de tromperie des autorités sanitaires britanniques

Le Dr Philippe Hervé, chargé d’expertiser les victimes du Mediator, vient de démissionner

Responsabilité des vaccins dans la survenue de cancers chez les soldats en Italie

Ménopausée à 16 ans après le vaccin Gardasil

Aluminium neurotoxique et cancérigène

Chez l’animal

Des tumeurs chez l’homme

Aluminium, squalène (adjuvant du vaccin H1N1) au banc des accusés : le vaccin Pandemrix responsable de narcolepsies

Vers une « épidémie » de narcolepsies

Lien formel entre vaccin Pandemrix et narcolepsie

Bien d’autres complications sont à craindre

L’anesthésie coupable des autorités et la culture du déni

Ce que contient une mixture vaccinale

La vaccinologie est-elle une science exacte ?

La Cour des comptes au service de la politique vaccinale

Mise en place d’un carnet électronique avant la biopuce

Vaccinations en milieu scolaire et dans les centres d’assurance maladie

Communication plus active sur les réseaux sociaux

Une « expertise » dépourvue de tout contradictoire

Un rapport sénatorial autiste et partisan à propos de la politique vaccinale

Scandale du Mediator : mise en examen de l’ex-AFSSAPS

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme et du patrimoine génétique…

Des produits de synthèse, source de mutations génétiques et donc cancérigènes

Comme les radiations ionisantes, les radiations électromagnétiques parasites (REMP) sont également cancérigènes

Des vaccins issus d’organismes génétiquement modifiés également mutagènes

Des virus SV 40 et MMTV tous deux cancérigènes dans le vaccin de l’Hépatite B

Des fragments d’ADN du vaccin contre le cancer du col retrouvé dans les tissus

Le ROR — comme 26 autres vaccins — préparé sur du tissu de fœtus humain avorté

La culture institutionnelle des scandales sanitaires

Corruption et scandales à répétition

Gardasil : Un nouveau vaccin génétiquement modifié sur la sellette

Le sévère réquisitoire de la députée Rivasi contre ce vaccin inutile et dangereux

Plaidoyer pour une information objective

Des techniques de racolage

Une efficacité plus qu’aléatoire

Des vaccins dangereux au potentiel toxique élevé reconnu dès 2007

Un rapport-bénéfice/risque totalement négatif

Une analyse canadienne particulièrement critique et défavorable aux vaccins HPV

Des ministres de la santé qui prennent leurs responsabilités et d’autres bien silencieux

Narcolepsie après vaccin H1N1 : pharmacovigilance défaillante

Le Figaro porte-parole de l’Institut finlandais de la santé et du bien-être (THL)

Le Monde porte-parole de l’ANSM

La narcolepsie post-vaccinale n’est observée qu’avec les vaccins H1N1

Une étude rétrospective du British Medical Journal alarmante et occultée

Les graves carences des pharmacovigilances française et européenne

Les mécanismes de la contrainte vaccinale, par Françoise Joët

L’obligation vaccinale n’a pas de justification

Exemples qui illustrent la dictature vaccinale (tous vérifiables et s’étant produits) :

Vaccination : la rébellion

Du squalène MF59 dans de nouveaux vaccins antigrippe

Le vaccin Pentacoq reconnu responsable de graves troubles neurologiques : l’état condamné

Après le Vioxx, Merck récidive avec le Gardasil

Le scandale du Vioxx

Gardasil : Le vaccin qui fait peur

Phénomènes de commutation : mutations bactériennes et virales virulentes après vaccinations et antibiotiques

L’importance du portage oropharyngée :

Haemophilus B

Evolution des méningites à Haemophilus et à Méningocoques en Belgique (Dr Pilette)

Le pneumocoque

La coqueluche

Les commutations virales

La polio : la sonnette d’alarme était tirée

La grippe

Agir contre la dictature vaccinale, par François Joët

Gardasil : 32 nouvelles plaintes

Le Gardasil, « non seulement inutile, mais dangereux »

Une mise sur le marché qui pose question

Le fantomatique vaccin grippal — Un mythe entretenu par des mensonges institutionnels à répétition

Le scandale de la crise aviaire de 2009 et ses conséquences

La dure réalité scientifique que semblent — ou veulent — ignorer nos experts et les autorités sanitaires

Une efficacité réelle beaucoup moins bonne que celle retenue par les experts et médias

Une sécurité vaccinale très incertaine

Vaccinalistes, l’Union européenne leur vient en aide

Des risques bien plus élevés que l’hypothétique bénéfice

Le procès des vaccins contre la coqueluche

Résurgence de la coqueluche dans certains pays industrialisés

Le rôle primordial des experts « vaccinologues »

Des vérités scientifiques occultées par nos experts

La mort subite et inexpliquée du nourrisson

Suspension de la vaccination en Suède, en Allemagne et au Japon

Chute brutale de la « Mort subite du nourrisson » au Japon en différant le vaccin après l’âge de 2 ans

In fine

La vaccination ça ne se discute pas !, par le Dr Marc Vercoutère

Le Vaccin contre les HPV : essentiellement mercantile et toxique

Vaccin anti-HPV : l’Omerta et les preuves de la corruption institutionnelle

Corruption au plus haut niveau de l’État

Le déni officiel de la toxicité de l’aluminium vaccinal

La pétition pour la suspension du vaccin HPV

La deuxième pétition contre la pénurie de vaccin DTP sans aluminium

Des oublis par omissions

La ministre Touraine a-t -elle disjoncté ? par le Dr Marc vercoutère

Kennedy en croisade contre les vaccins

L’OMS prône la coercition face à la défiance vis-à-vis des vaccins

Une ancienne visiteuse médicale de Merck explique que l’obligation vaccinale est pour le profit, pas pour la santé publique, par Brandy Vaugham

Les vaccinations de masse ont été désastreuses — Interview du Pr Luc Montagnier

Manifestation contre le vaccin Gardasil dans les rues de Colombie

Enquête sur l’efficacité du vaccin antitétanique, par Marc Vercoutère

Le Gardasil 9 : les nouvelles magouilles de Merck

Dangerosité certaine occultée…

La complicité des médias et des autorités européennes et françaises

Débat vaccinal sous le règne de la terreur, par le Dr Marc Vercoutère

Le faux débat vaccinal

En vérité, les vaccins ne sont plus des vaccins !

La grande illusion de la médecine moderne

Formaldéhyde interdit dans les jouets mais pas dans les vaccins

Que disent les experts ?

Conclusion

Le comité pour la vaccination piloté par Marisol Touraine a rendu son rapport public le 30 novembre 2016

Des composants métalliques nanométriques toxiques dans les vaccins !

Particules nano retrouvées dans les vaccins

Effets biologiques du tungstène

Effets biologiques du strontium

Le chrome

Effets biologiques du Hafnium

Effets biologiques de l’antimoine

Le bismuth

Toxicité du baryum

Nano mais méga toxique

Comment évaluer les risques vaccinaux ?

La Suède interdit la vaccination obligatoire

Vacci’Nation

Opposer le code de Nuremberg à l’obligation vaccinale

Le Code de Nuremberg

Protections juridiques

L’Italie sous dictature vaccinale

Ministères et Commissions dans les griffes des labos

Des millions d’Italiens contre l’obligation vaccinale

130 familles italiennes menacent de demander asile en Autriche pour échapper aux vaccinations obligatoires

Ce que pensent les médecins des vaccins

Des médecins viennois refusent de vacciner

Comment la pénurie de trois vaccins s’est transformée en l’obligation de onze vaccins en France

Le tour de passe-passe transformant la pénurie de trois vaccins en onze vaccins obligatoires

Non à une campagne massive de vaccination forcée !

L’obligation vaccinale est un crime contre l’immunité qui, dans les 20 prochaines années, sera appelé un crime contre l’humanité ! Une interview d’Isabelle Adjani

30 % des vaccins contaminés

Michel Dogna : le crime vaccinal

Interdit de recherche sur les nanoparticules dans les vaccins…

Dr Vercoutère : une vaccination industrielle meurtrière

Bibliographie

Personnalités scientifiques citées

Bibliographie scientifique franco-anglaise

Livres

Rapports et presse

Préface de l’éditeur

La poule aux œufs d’or

En matière de santé, il existe un irréductible conflit entre le pasteurisme qui vise à détruire des microbes et la médecine traditionnelle de Béchamp qui vise à résorber les déséquilibres physiologiques et immunitaires à l’origine de ces mêmes microbes.

L’allégorie du marécage résume bien la situation. Un marécage génère des moustiques. Pasteur (chimiste) s’acharnera à détruire les moustiques sans trop se soucier du marécage. Béchamp et Claude Bernard (physiologistes) se consacreront à assécher le marécage afin qu’il n’y ait plus de moustiques. Selon leur formule : « le microbe n’est rien, le milieu est tout ! »

La pénicilline, les antibiotiques constituent une solution d’urgence dans le cas de prolifération invasive de virus et bactéries, c’est un fait. Mais sans la prise en charge de l’amélioration des défenses immunitaires naturelles, les déséquilibres vont engendrer des virus et bactéries mutants, résistants à tout. C’est le principe du moustique survivant à l’insecticide. Il va engendrer une génération de moustiques immunisés contre l’insecticide. Ce sera une guerre bactériochimique sans fin. Or, une guerre sans fin est une rente à vie pour qui fabrique les chimies tueuses. Le mythe pasteurien est donc très soigneusement entretenu, car c’est une véritable poule aux œufs d’or. C’est une poule qui coûte cher en vies humaines, mais qui a comme bonnes fées des cartels bancaires associés aux industries pharmaceutiques. Et, vous allez voir, à la lecture de ces textes, à quel point elle résiste à tout, car la poule est toujours vivante et plus vivace que jamais…

Frédéric Morin

Les libertés individuelles face à l’obligation vaccinale

Intervention de Françoise Joët, Présidente de l’Association Liberté Information Santé (ALIS), Colloque des députés verts, Assemblée nationale, 31 janvier 2001.

« Je parle ici au nom de milliers de personnes, dont la confiance est ébranlée et qui, soucieuses de leur santé et de celle de leurs enfants, souhaitent que la législation actuelle évolue vers plus de liberté et plus de choix.

Pourquoi réclamons-nous une révision des lois d’obligation vaccinale ? Les exposés précédents vous ont apporté une réponse. Je me contenterai d’ajouter trois autres éléments à prendre en compte.

Le premier découle de l’évolution des connaissances : c’est une chose évidente que la science tout comme le droit ont évolué et que les théories pasteuriennes, aujourd’hui dépassées, ont fait place à une autre vision du monde des microbes et de la biologie humaine. L’obligation vaccinale a été instaurée et maintenue sans tenir compte de cette évolution. Par ailleurs, la société civile est de plus en plus consciente des dangers inhérents aux actes médicaux, surtout si ceux-ci s’adressent à des bien portants. En outre, les personnes dénoncent de plus en plus la désinformation dont elles sont victimes et les médias commencent à s’en faire l’écho.

Le deuxième élément est politique : la France fait figure de pays rétrograde en Europe. Elle est, en effet, la seule à avoir maintenu une situation extrêmement coercitive en renforçant progressivement, depuis 1902 jusqu’à l’ordonnance du 15 juin dernier, les lois d’obligation vaccinale, alors que les autres pays d’Europe ont fait exactement le contraire et ont compris que l’obligation était obsolète. Nous allons donc à contre-courant, alors que l’on parle d’harmonisation des systèmes de santé dans l’Union européenne.

Enfin la troisième remarque concerne les assujettis : les victimes des vaccinations ne veulent plus se taire, même si cela leur demande souvent un effort colossal. Grâce aux procédures qu’elles ont le courage d’entreprendre, elles éveillent les consciences et obligent à prendre en compte le problème. Le drame du vaccin contre l’hépatite B les a poussés à ester en justice. Il faut dire que si le principe d’obligation a été légalisé — les lois d’obligation étant votées la plupart du temps à la sauvette et sans discussion — parallèlement, rien n’a été prévu par le législateur pour évaluer les conséquences des vaccinations. Aussi, ne disposons-nous d’aucune estimation réelle des accidents, ce qui a permis au représentant de la firme Pasteur-Mérieux de dire lors d’un procès mettant en cause ce laboratoire, il n’y a pas de victimes, il n’y a que des plaignantes.

Comme on voit, le besoin d’innocenter le vaccin se fait au mépris des personnes. Car nous sommes dans l’idéologie : dans l’esprit pasteurien, un vaccin est bénéfique par essence, impossible d’admettre qu’il puisse nuire. C’est une coïncidence, c’est dans votre tête, a-t-on répondu à des infirmières atteintes de pathologies lourdes après un vaccin anti-hépatite B. Et ces affirmations sont renforcées par le fait qu’il est effectivement difficile d’établir scientifiquement et avec des preuves absolues, un lien de causalité, surtout si les problèmes de santé surviennent à distance de l’acte vaccinal. Cela donne lieu à une situation qui n’existe dans aucun autre domaine médical. Pourtant les autorités qui prônent les vaccinations de masse savent qu’il y a des dégâts. On admet donc qu’il y ait des victimes qui vont payer de leur vie ou de leur handicap pour que la machine continue. Dans ce scénario, on ne trouvera ni responsables ni coupables, car les acteurs tentent toujours de se défausser.

Le psychologue américain Léon Festinger aurait parlé, en l’occurrence, de dissonance cognitive, terme savant qui désigne une réaction de conformité propre à ceux qui sentent leur confort mental menacé. Leur meilleur moyen de défense est de refuser de voir les faits et de les nier. C’est ainsi que les régimes totalitaires ont longtemps nié l’existence du Goulag(1). Ce n’est qu’un exemple, on peut en trouver d’autres ».

Comment continuer à accepter que les vaccinations soient imposées ?

L’être humain n’a qu’un seul corps, qu’une seule vie. A-t-on le droit de jouer à la roulette russe avec lui ? A-t-on le droit de manipuler les gens à leur insu et sans leur consentement sous couvert de philanthropie ? Peut-on continuer à masquer les problèmes ? Je n’en veux pour exemple que les bavures du BCG en 1996 dans quatre écoles de la banlieue populaire de Lille où 114 écoliers ont reçu le vaccin au lieu du test. Les mentions portées sur le carnet de santé ont été maquillées par les responsables. 16 familles ont porté plainte après hospitalisation de leurs enfants. On leur a versé 1 500 FF pour qu’elles retirent leur plainte. Prenons exemple sur la population islandaise qui a réagi à l’implantation de la firme Decode Genetics qui s’apprêtait à ficher tous les citoyens pour mettre au point des médicaments du futur avec de juteux contrats à la clé. Les Islandais n’ont pas voulu être considérés comme des cobayes et des marchandises et ils ont obligé le gouvernement à lâcher du lest et à réviser les lois(2).

Par ailleurs, étant donné qu’aucune étude objective n’a été réalisée sur la vaccination de masse (excepté celle du BCG en Inde menée par l’OMS entre 1968 et 1971, qui a porté sur environ 300 000 personnes et qui a conclu à l’inefficacité du vaccin), étant donné qu’aucune preuve scientifique ne peut être fournie sur l’innocuité des vaccinations, lesquelles demeurent un acte aléatoire et hasardeux en raison de l’identité biologique des individus, nous avons toutes les raisons de demander que soit respecté le principe de précaution et qu’en conséquence, le citoyen dispose d’une clause de conscience légale.

Deux mots sur le principe de précaution, qui peut comporter certaines ambiguïtés. Le principe de précaution qui suppose la prise de décision en l’absence de connaissances des risques (définition de Rio) doit se doubler du principe de prudence qui suppose une prise en compte des informations sur les dommages possibles. L’un ne va pas sans l’autre. En vertu de ces deux principes, l’État ne peut plus avoir une attitude interventionniste sous prétexte de prévention et de santé publique. Chacun sait que la vraie prévention passe avant tout : a) par l’éducation et l’accès au savoir ; b) par la libération de la peur grâce aux connaissances ; c) par de véritables mesures d’hygiène collective (air, eau, alimentation) et d) par la prise de responsabilités individuelles.

Évidemment, sa mise en œuvre est un peu plus compliquée que l’administration de vaccins, mais elle s’inscrit dans le respect de l’homme et des lois qui le garantissent et elle s’inscrit aussi dans la durée : sur le long terme, cette stratégie est payante et extrêmement efficace.

En modifiant le cours des choses, en perturbant l’écosystème, on introduit de nouveaux facteurs de risques, s’installe alors un processus en cascades, car le danger se fabrique ; dès lors, on voit surgir dans la société des angoisses qui s’accompagnent d’une recherche de l’absolu sécuritaire. Pas étonnant qu’une nouvelle science ait vu le jour, la science qui étudie les dangers et qui a son école, l’Institut européen de cindynique(3).

J’ajouterai que le principe de précaution a deux corollaires, deux concepts éthiques indissociablement liés : le devoir d’information et celui de la recherche du consentement, principes fermement affirmés dans le code de déontologie médical (art. 35, 36, 41 et 42).

Nous réclamons la liberté des vaccinations, nous réclamons la liberté de choisir, le droit de refuser un acte potentiellement dangereux, le droit de dire : « non, je ne veux pas recevoir dans mon corps un mélange de substances qui peut m’être dommageable ! » Qu’y a-t-il de plus légitime ? Mais pour choisir, il faut connaître et savoir. Le devoir d’information a fait couler beaucoup d’encre depuis les arrêts de la Cour de cassation de 1997 qui ont condamné des médecins pour absence « d’information claire, loyale, appropriée et exhaustive autant sur les risques majeurs que sur les risques légers. » La firme Pasteur-Mérieux-MSD s’est d’ailleurs appuyée sur ces arrêts pour écrire dans Le Quotidien du Médecin (26/03/1998) : « Cette information a pour but de permettre au patient (ou à ses parents pour les mineurs) de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés. » Ce texte est très important de la part du premier fabricant de vaccins en France. Car il balaie l’obligation vaccinale, il balaie les décisions unilatérales autoritaires et accorde l’autonomie au citoyen qui est ainsi traité en adulte libre et responsable. Cette évolution a d’ailleurs été approuvée par le Comité consultatif national d’Éthique. On la sent poindre également dans certaines déclarations du monde médical : le Pr Saliou, de Pasteur-Mérieux, a dit sur les ondes qu’il valait mieux convaincre que contraindre, le Pr Lery, de l’Institut Pasteur, a dit que l’heure n’était plus à l’obligation, le Dr William Dab, professeur à l’école de Santé publique, a écrit dans Le Généraliste (29/01/1993) : « l’obligation est un outil de santé publique dépassé. » Dans le journal Le Monde (17/04/1998), sous le titre « Réhabiliter le geste vaccinal », on lit : « La vaccination doit cesser d’être un simple geste de routine, pratiqué de manière mécanique et laisser place au dialogue, à l’examen clinique et biologique. » Nous ne pouvons qu’approuver ce bon sens.

Sans information, le citoyen est un sujet infantilisé qui n’est pas en mesure de donner un consentement éclairé ; sans liberté, il est un otage qui perd toute chance (au sens juridique du terme) d’éviter une pathologie. Est-il acceptable d’échanger une rougeole contre une maladie de Crolin ou un diabète ?

Dans l’esprit de la Constitution, certains droits, comme celui à la protection de la santé, doivent être générateurs de prestations et non d’interdictions ou d’obligations, et ce, dans un esprit de justice sociale, de tolérance et de pluralisme. Comme le rappelait Corinne Lepage dans le Panorama du Médecin, lors du procès du sang contaminé : « Ce procès est celui de la politique de l’autruche. Il devrait conduire à changer les méthodes de prise de décision, de gestion de l’information et d’expertise afin d’introduire la pluralité, l’expression des opinions minoritaires, fussent-elles dérangeantes. »(4)

La liberté est le maître mot ; l’Allemagne, la Hollande, l’Angleterre, les pays scandinaves, l’Irlande, l’Espagne, le Luxembourg, etc., l’ont très bien compris. Le droit au respect de l’intégrité de son corps est un droit fondamental que bafoue toute loi d’obligation vaccinale.

Il est clair que le clivage entre droit public et droit privé est aujourd’hui dépassé. La santé publique n’est pas autre chose que la santé des individus. La vaccination ne saurait être une tyrannie et un combat contre la liberté. Les libertés et les droits fondamentaux sont opposables à tous et en tous domaines. C’est ce que Franck Moderne, commentateur des lois vaccinales, réaffirme sans cesse(5). Cela confère à notre corps et à celui de nos enfants, un caractère sacré, inaliénable. « Noli me tangere », c’est là une règle en vertu de laquelle toute atteinte au corps humain non consentie est qualifiée par le Code pénal de « violence volontaire ». Il faut savoir que des pouvoirs importants sont conférés au juge pour sanctionner la violation du principe du respect de l’intégrité physique(6). Pourquoi les vaccinations y échappent-elles ? Pourquoi se situent-elles au-dessus des lois ? Pour raison d’État ? Nous attendons une vraie réponse à cette question.

Aujourd’hui, plus que jamais, et à juste titre, nous réclamons un assouplissement des lois vaccinales. Une députée, après plusieurs autres parlementaires depuis les années 50, vient de déposer devant l’Assemblée, une proposition de loi visant à accorder aux citoyens une clause de conscience. Je conclurai en demandant à tous ceux qui ont compris mon message, de lire et de soutenir cette proposition de loi afin que notre pays soit une véritable démocratie. »

Françoise Joët

La terreur vaccinale

Quand l’État joue à la roulette russe avec mon enfant

Dans l’état actuel des choses, un homme comme Hippocrate serait interdit d’exercer et incarcéré ad vitam æternam à la Santé…

Pline l’ancien affirmait déjà que les médecins expérimentent et tuent avec une impunité souveraine, ils en arrivent même à rejeter le tort sur le malade. Il y a actuellement quatre vaccinations obligatoires en France, la diphtérie, le tétanos, la polio et la tuberculose. La dangerosité de ces vaccins est établie scientifiquement par des centaines de chercheurs et médecins indépendants. Les fabricants eux-mêmes connaissent parfaitement tous les dangers de ces vaccins, mais ils cachent tant bien que mal leurs informations, commerce oblige. Ils s’autorisent un certain nombre de morts, comme l’armée s’autorise 1 ou 2 % de perte en temps de paix. Les politiques tiennent le même discours, le risque zéro n’existe pas, il est donc logique de recenser quelques morts et accidents post-vaccinaux.

Qu’il y ait un risque mortel dans une intervention médicale non obligatoire et librement consentie ne porte pas atteinte à la liberté individuelle. Par contre quand un acte médical obligatoire s’autorise quelques bavures, il condamne ipso facto plusieurs individus à mourir sans qu’aucun choix ne leur soit laissé. Cette logique collective est contraire à l’instinct de survie le plus élémentaire, car à titre individuel les questions qui se posent sont :

« Qui va mourir ou rester handicapé à vie ? »

« Mon fils rentrera-t-il dans les statistiques des accidents post-vaccinaux ? »

« Passera-t-il le test de la roulette russe institutionnelle ? »

L’État est responsable des accidents dans ce cas. Cependant combien faut-il d’années pour établir le lien de cause à effet dans de telles circonstances ? Le scandale du vaccin de l’Hépatite B montre que la bonne foi n’est pas de rigueur en matière vaccinale. D’autre part, si l’État reconnaît son tort, à combien évaluera-t-il la vie de mon enfant 10 000 francs ? 100 000 francs ? 1 000 000 francs ? Il est clair que sa vie n’a pas de prix et l’exposer à une telle roulette russe au nom d’une sécurité sanitaire fantomatique, n’a aucun sens surtout lorsqu’on connaît la faible efficacité des vaccins actuels.

Mais refuser de soumettre son propre enfant aux dangers des vaccinations obligatoires est très sévèrement réprimé. Marginalisation, scolarisation interdite, mise en examen, prison avec sursis, intervention des forces de l’ordre. Refuser une vaccination déclenche une fureur symptomatique de toute autorité dite médicale. Quand des institutions de santé usent de la terreur pour imposer un acte médical qui comporte des risques et quand aucun arsenal juridique ne permet de protéger