![f062-01.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/5zbkxfil34cnvvjs/images/fileX2JP3E4X.jpg)
PROJETSambitions
L’entreprise, fondée en 1893 par Charles Schenk, a roulé sa bosse, discrètement, laborieusement, opiniâtrement. Développée par Arnold Schenk à partir de 1910, elle a connu les grandes heures du négoce abondant et de la vigne algérienne entre les deux guerres. Depuis, elle n’a cessé de reprendre des domaines, en Suisse et à l’étranger, avec quelques belles acquisitions comme la maison Henri Badoux. Aujourd’hui, un quatuor de cousins est aux commandes. Fini les achats massifs de raisins et l’embouteillage frénétique pour qui veut vendre du vin. Le groupe Schenk Family se concentre sur ses marques et ses propriétés avec des objectifs qualitatifs. Nous avons rencontré François Schenk, l’un de ces quatre cousins. Il a fait son apprentissage aux États-Unis. Il est à la fois suisse et pas très suisse dans sa spontanéité et sa façon de ne pas être dans l’évitement.
Comment est structuré Schenk ?
Nous sommes quatre ambassadeurs, mon frère Philippe, nos, mais sans communiquer auprès du consommateur. C’est ce que l’on a décidé de transformer.