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QUANTAUX LIGNES DE LA 308, ON AVAIT OBTENU CHEZ PININFARINA CETTE PURETÉ, CET ÉQUILIBRE DANS LA SIMPLICITÉ AUQUEL TOUT DESIGNER ASPIRE.
L’offre d’inaugurer le Corso Pilota Classiche tombe à la rédaction et c’est le doyen qui est désigné. Les jeunes y auraient trouvé matière à découverte, votre serviteur va surtout raviver ses souvenirs, mais sûrement avec plaisir. Rencontrer à nouveau les gloires du passé, modèles naguère convoités autant et davantage que le sont aujourd’hui la 296 et la 812, quel délicieux voyage dans le temps…
Le scénario
Premier jour. Le « Corso » comprend la visite de l’usine Ferrari, y compris une rapide incursion, sur une sorte de promontoire, dans les locaux de la Scuderia F1 ! Pas le temps d’espionner grand‑chose, d’autant que le gros de l’équipe est en vadrouille en Australie, mais l’émotion est là. Autre temps fort, la découverte de l’atelier où sont menés les restaurations les plus ambitieuses ainsi que les très convoités processus d’authentification, en lien avec une salle d’archives assez vertigineuse, détaillée voiture par voiture depuis 1947 ! C’est de ce département, Ferrari Classiche, que dépend le Corso que nous allons suivre.
Deuxième jour, 400