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Non, mille fois non : je n’échangerais pas une journée au volant d’une 911 S/T pour une semaine à bord d’une Ioniq 5 N. Non, un million de fois non : cette coréenne n’entrera jamais au panthéon des autos légendaires. Et non, un milliard de fois non : elle ne me fera pas regretter ce que j’ai pu écrire par le passé à propos des électriques. Pourtant, il me faut le reconnaître, cette commode ovoïde est une réussite indéniable et je lui souhaite le succès commercial. Qu’elle ne devra pas à son physique. Prenez un conteneur de fret, ôtez un peu de matière à l’avant, équipez-le de jantes forgées de 21 pouces, insérez des optiques rectangulaires, et le tour est joué : vous avez une Ioniq 5 N.
L’avantage d’un conteneur, c’est qu’il y a de la place à bord. Avec son empattement de 3 m pour une longueur de 4,71 m et une largeur de 1,94 m, la Hyundai en impose. Mais soyons honnêtes, même repeinte en bleu mat pastel (900 €) ou en orange Soultronic (de série), cette