La vague #MeToo a fait fleurir et diffusé dans la société les concepts de la pensée féministe, qui ont eu le temps d’être digérés et permettent aux autrices de se raconter dans des termes nouveaux, à la fois plus complexes et plus radicaux. Des hommes possibles, de Pauline Klein, fait partie de cette nouvelle voie.
Dans , la narratrice ressemble, dans le ton détaché de sa voix, à celle de vos précédents romans, notamment et . Mais quelque chose en elle a changé. Elle a désormais la ressource de regarder vers le passé et d’interroger son identité. C’est un signe de maturité ou d’un air du temps différent?