Le temps de parcours d'un train n'est pas fixé arbitrairement: il résulte de l'addition de sa marche de base et d'une marge de régularité prévisible, auxquels s'ajoutent éventuellement les temps de stationnement (en gare ou dans les triages) ainsi que les temps pour des arrêts techniques (pour dépassement, coupe-accroche, rebroussement…).
La marche de base consiste en la marche la plus tendue normalement réalisable, avec pour hypothèse centrale