Adieu, veau, vache, cochon, couvée ! Le pavillon 1 n’ouvrira pas tout de suite au public. L’effervescence électrique n’émeut pas les placides charolaises. Loin des huées, des éleveurs attendent. Certains veillent près de leurs bêtes, enchaînant les cafés. Il est 9 heures, et soudain une voix résonne dans ce pavillon presque vide : « Compte tenu de la situation actuelle, nous vous annonçons que nous ne sommes pas en mesure d’ouvrir les portes du salon. »
La frustration éclate. Jean-Yves, installé depuis 6 heures avec sa famille et des amis, espérait pouvoir accueillir le public : « Ce salon est une belle abonde Jean-Louis.