Et si le sommeil paradoxal, cette période du sommeil caractérisée par des mouvements oculaires rapides (REM, pour ) et des rêves particulièrement vifs, permettait d’éviter que notre explique Don Vaughn, l’un des deux auteurs. Surtout, ce phénomène peut survenir rapidement, il est mesurable en quelques heures seulement. Il pourrait donc s’appliquer durant le sommeil lorsque la vision est au repos… Sauf que 90 minutes après l’endormissement, en moyenne, le sommeil paradoxal – et son caractère très visuel – prend le relais ! , continue le chercheur. Un peu à la manière d’un économiseur d’écran d’ordinateur, qui se mettrait en route toutes les 90 minutes. Pour pousser plus loin la question, les chercheurs ont même comparé la neuroplasticité et le sommeil paradoxal au sein de 25 espèces de primates. Résultat : plus le cerveau est doté d’une grande neuroplasticité, plus le besoin en sommeil paradoxal est grand. Les deux semblent bien corrélés.
LES RÊVES PROTÉGERAIENT LES RÉGIONS VISUELLES DU CERVEAU
Feb 22, 2024
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