u’y a-t-il de plus grave, de plus mondialement terrifiant et moderne que l’épidémie de On l’a vue venir. Elle est là. Russes, Américains, Chinois s’envoient des faux profonds cybernétiques à la tronche et désormais bourrés d’intelligence artificielle. C’est leur côté glamour. L’IA est à la vidéo ce que la physique quantique est à la philosophie de Michel Onfray : ça explique tout. C’est Dora qui m’a informé porno de Taylor Swift. Elle m’a montré la vidéo sur son portable. Je dois dire que je l’ai trouvée fortiche, techniquement je parle. Je lui préfère quand même les de l’autre Swift (Jonathan), maître insurpassable en délires dysmorphiques. Le porno n’est peut-être pas la raison la plus noble d’aimer une artiste, mais j’avoue avoir adoré encore plus Polnareffle jour où est apparue l’affiche où il montrait ses fesses. Certes, grosse différence, il paraît que c’était vraiment les siennes. N’empêche que le résultat est le même, le de Taylor a fait plus pour sa renommée que ses « bracelets de l’amitié » dont elle s’est fait l’ambassadrice mondiale, et la lobbyiste préférée de l’industrie de l’enfilage de perles.
Taylor et Mona souillées
Feb 07, 2024
2 minutes
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