Pour soigner ses crises d’asthme, le médecin recommande au narrateur de provoquée par leur absorption étant censée faire d’éventuelles crises. Reste que plus que toute autre boisson et lui permet de passer à l’acte avec elle dans le fameux bois de Chantepie. De santé fragile, Proust était, lui, d’une remarquable sobriété. Servante dévouée de 1914 jusqu’à la mort de l’écrivain en 1922, Céleste Albaret témoigne: À l’en croire, c’était l’écrivain Ramon Fernandez qui lui avait donné l’idée de la bière, en lui vantant celle de la brasserie Lipp, boulevard Saint-Germain. Une légende invérifiable court sur l’éternel reclus aux habitudes étranges – insomnie, opiomanie, etc. Elle prétend qu’à la fin de sa vie, ne pouvant rien ingérer, le vrai Marcel se nourrissait exclusivement de bière glacée! Céleste Albaret n’en dit rien. Tout juste précise-t-elle que appréciait également qu’elle lui serve régulièrement chez-lui
