a première mouture de l’ID.3 a été accueillie assez fraîchement, et pour cause : elle offrait une qualité de présentation inférieure à ce que Volkswagen sait faire, surtout en se revendiquant l’équivalent d’une Golf, et pas mal de fautes d’ergonomie, là encore gênantes vu les prétentions. Cela explique le restylage précoce, après seulement trois ans de vie : les matériaux employés sur la planche de bord et alentour sont plus flatteurs, tandis que les menus sont plus faciles à utiliser et les équipements plus à la page. Ainsi, l’ID.3 ne disposait pas à son lancement de planificateur de trajet (qui vous indique à quelle borne recharger et combien de temps), une lacune désormais comblée. L’écran central a grandi, passant de 10 à 12 pouces, mais il reste moins réactif que celui d’une Mégane E-Tech, par exemple. Sur le plan technique, l’ID.3 ne propose
