Les deux hommes ont un point commun : ils aiment les gens
ostume et pull bleu marine sur chemise violette, les mains parcheminées posées sur le balcon de sa mairie, Georges Rosso prend la pose devant le « poumon vert de Marseille ». Forêt de pins et calanques dans son dos. « Si je ne m’étais pas battu dans les années 1970, on aurait construit une station balnéaire ici.