En 1976, la Nasa a envoyé sur la planète rouge deux sondes Viking, chargées d’analyser des roches pour y détecter d’éventuelles formes de vie. Faute de explique-t-il. Les bactéries des roches du désert sec d’Atacama (Chili) survivent, par exemple, en captant le peu d’eau de l’atmosphère grâce au sel des roches. Mais une pluie abondante les tuerait : c’est ce qui est arrivé en 2015, lorsque des inondations exceptionnelles ont décimé 85 % de ces extrêmophiles. De la même manière, avance Dirk Schulze-Makuch. En outre, lors de la mission Viking, des prélèvements ont été chauffés pour analyser les gaz, révélant un fort taux de dioxyde de carbone. Peut-être un autre indice de bactéries martiennes, pointe le chercheur :
L’HUMAIN AURAIT INVOLONTAIREMENT TUÉ DE LA VIE SUR MARS
Oct 25, 2023
1 minute
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits