« Fric-frac », « casse », « racket », les organisations syndicales et patronales qui gèrent le régime de retraite complémentaire des salariés du privé Agirc-Arrco ne trouvent pas de mots trop forts pour dénoncer le nouveau procédé par lequel le gouvernement veut en siphonner les réserves.
Quelques jours seulement avant la fin des négociations paritaires sur l’accord qui structurera les règles de fonctionnement du régime pour les quatre prochaines années, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a en effet sommé l’Agirc-Arrco de contribuer au