L'ACTUALITÉ • EN VEDETTE
I » Ce ne sont que quelques lignes (même s'il y en a d'autres) dans un roman très sage et pas déshonorant – –, mais elles ont fait couler beaucoup d'encre. Il faut dire qu'elles sont signées… Bruno Le Maire. Le ministre de l’Économie n'en était pourtant pas à son coup d'essai: dans en 2004, récit sur son passage au cabinet de Dominique de Villepin, il évoquait ses immersions » On dit même que, durant ses études, le futur ministre aurait écrit des romans érotiques pour Harlequin, sous le nom de « Duc William »! De telles intrusions d'un politique de haut niveau dans l’érotisme littéraire sont rarissimes, en France comme à l’étranger. Mais il y a quelques cas, à commencer par Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Économie solidaire, qui n'a jamais caché avoir écrit ou coécrit sous le nom de Marie Minelli des livres aux titres aussi lestes qu'Osez les sexfriends, Les filles bien n'avalent pas ou Sexe, mensonges et banlieues chaudes.