Paris, Mémorial de la Shoah. Jusqu’au 25 février 2024.
La musique a résonné quotidiennement dans les camps de concentration et les centres de mise à mort du régime nazi dans des circonstances très diverses. Pourquoi une telle présence dans des espaces fondée sur la prétendue « race aryenne ». Par transposition, le système concentrationnaire accorde lui aussi une importance notable à la musique, mais la quasi-absence de documents officiels à son sujet est frappante.