Risques d’infertilité : les utilisatrices de protoxyde d’azote (N2O) doivent-elles s’inquiéter ? La question est posée dans un article du Journal of Psychopharmacology rédigé par deux universitaires néerlandais, Jan Van Amsterdam et Wim Van den Brink. Elle vient s’ajouter aux nombreuses alertes sanitaires face à l’engouement d’une partie de la jeunesse pour ce gaz hilarant… mais aussi neurotoxique.
La courbe de l’évolution des cas de complication médicale rapportés au réseau d’addictovigilance prévient la professeure Joëlle Micallef, présidente du Réseau français d’addictovigilance.