’est un contre cruel et raffiné. Dans il y a les quatre filles de la famille Salvatore, moins une, celle qui a disparu. L’histoire s’ouvre qui nous ressemblent. Mais Véronique Ovaldé, c’est d’abord une écriture, fait assez rare pour être souligné. Le lecteur est immédiatement happé par une langue subtile, immersive, kaléidoscopique, à l’image du carnaval, point central du roman, métaphore du désir brûlant des fillettes de vivre: diables, ogres, vierges, vampires, perruches et aïeules fardées, dans le brouillard et les odeurs de friandises, comment résister? Les deux minuscules fillettes clandestines se perdent au milieu de cette bacchanale. Et soudain, c’est l’effroi.
VÉRONIQUE OVALDÉ Le drame en parade
Feb 23, 2023
1 minute
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