, tel est le sous-titre de ce livre, d’abord publié en 1998 par le critique et cinéaste angloghanéen, Kodwo Eshun. Lequel ne se contente pas de retracer chronologiquement les démonstrations afrofuturistes à travers l’ensemble des compositions de Sun Ra, Alice Coltrane, Parliament ou encore Miles Davis, ou de définir comment la science-fiction a offert des possibilités d’évasion, une protection face au racisme ambiant. Il imagine, au contraire, un vortex conceptuel, nourri de tout en collages et découpages, une “
