ne odeur amère flotte dans l’air : comme un parfum de trahison. tempête Nicole, 60 ans, dont la moitié passée dans l’enseignement. Si cette professeure manifestait à Paris, hier, contre la réforme des retraites, c’est parce qu’elle a d’abord cru en la Première ministre, Élisabeth Borne, qui promettait en janvier une réforme pour les femmes. Avant d’entendre l’aveu du ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester, selon lequel les femmes serontSes yeux Comme elle, 500 000 personnes ont défilé à Paris, selon la CGT, 93 000 selon la police, des chiffres en hausse par rapport à la dernière manifestation, mardi.
