Villepinte (Seine-Saint-Denis), le 28 janvier
se remémore Sandrine Fansi. Après une première tentative d’entrée sur le territoire ratée à cause d’un visa fallacieux, Sandrine s’installe en France. “Je vivais avec la peur au ventre d’être contrôlée, sans pouvoir demander de l’aide par crainte d’être expulsée, alors que tous les immigrés croient