Voici la terrible nouvelle rapportée par le britannique en octobre dernier. Pourtant,, assure un porte-parole de l’université de Boston (États-Unis). Il s’agit en, estime le virologue François Balloux, de l’University College de Londres. Dans le résumé de leur étude,. Or là est la subtilité : les souris utilisées ont été modifiées génétiquement pour mourir dans 100 % des cas face à la souche originale de SARS-CoV-2 ! La est donc… moins létale que celle qui a envahi la planète en 2020 – nous pouvons dormir tranquilles. Reste à comprendre les motivations des chercheurs. Tout part de ce constat : face à Omicron, aucune des souris modifiées génétiquement ne meurt. Pour expliquer cela, les chercheurs ont décidé d’évaluer le rôle des mutations portées par ce variant, notamment celles de sa protéine spike. Ils ont donc intégré le gène codant pour la protéine spike d’Omicron dans le génome de la souche originale du SARS-CoV-2. Avec 80 % de souris décédées, la conclusion est claire : la spike mutée d’Omicron n’est pas seule responsable de cette faible létalité.
