EONARD COHEN REVIENT sous les feux de la rampe grâce à un documentaire habile à la hauteur de ce personnage unique. On redécouvre la vie fascinante d’un homme qui a poussé l’art de l’écriture à un très haut degré de perfection: car plus qu’un chanteur, qualifié d’artiste folk à ses débuts, en 1968, Leonard Cohen aura, traduit en français par Jacques Vassal. D’autres traducteurs se sont confrontés à sa prose et à sa poésie, notamment Dashiell Hedayat, l’un des nombreux alias du regretté Daniel Théron, ou plus récemment Nicolas Richard, traducteur d’Hunter S. Thompson ou de Richard Brautigan, mais aussi d’Obama, de Dylan et de Springsteen. Un point commun: tous se sont arraché les cheveux pour trouver les mots les plus justes. Cet ouvrage “biblique”, publié avant la sortie, en 1984, de , et qui contient le fameux “Hallelujah”, en influencera très largement l’écriture.
Hymne
Sep 23, 2022
2 minutes
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