ZAPORIJJIA AVEC LES SENTINELLES DE L’APOCALYPSE
Les enquêteurs de l’AIEA se sont enfin rendus dans la centrale ukrainienne de tous les dangers. Leur patron témoigne
En plein sur la ligne de front, le plus grand site nucléaire d’Europe est pris en otage
Trois jours après l’inspection de l’AIEA, l’ultime réacteur encore en service était mis à l’arrêt. Mais le mastodonte a toujours besoin d’électricité pour refroidir son cœur et éviter une explosion dévastatrice. En cas de panne, la centrale bénéficierait de deux systèmes de secours : une ligne reliée à une centrale thermique et une vingtaine de générateurs diesel. Encore faudrait-il qu’ils ne soient pas endommagés. Si les bâtiments protégeant les cuves et une partie du combustible usé ont été conçus pour résister à des tirs d’obus, ils ne le sont pas contre des missiles.
Visite sous haute tension pour les ingénieurs choisis parmi des pays amis de l’Ukraine et de la Russie
Pour l’instant, tout fonctionne… mais l’épuisement des 8 000 employés ukrainiens qui travaillent sous supervision militaire russe démultiplie le risque d’erreur
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