À ses débuts, Loewe fonctionnait comme une coopérative de maroquiniers. Près de deux siècles plus tard, vous expliquez vouloir remettre la notion d’artisanat au centre de ses préoccupations. Pourquoi ?
J’ai parfois l’impression que les gens pensent que les sacs ou les vêtements sortent directement de machines, qu’on oublie que de vrais êtres humains mobilisent des compétences pour les fabriquer. Célébrer ces différentes formes d’artisanat, c’est montrer