Alexis Vettoretti Paysannes
Qu’est ce qui vous a poussé vers la photographie documentaire et sociale ?
e nombreux éléments ont fait que je me suis rapproché de la photographie documentaire dite sociale. Bien avant que je ne suive un cursus en photographie à l’ETPA à Toulouse, je m’intéressais déjà au monde ouvrier. Cela vient sans doute de ma classe sociale. Je suis originaire d’Ardèche et mon père était peintre en bâtiment, tandis que ma mère enchaînait des petits boulots autour de l’aide sociale. En quittant mon département, après mon Bac, mon envie de suivre le monde ouvrier s’est intensifiée. Cela, je l’explique par le fait que j’ai choisi de devenir photographe et non d’aller à l’usine comme tout le monde. C’était un peu comme si je tournais le dos à ma condition de base. Malgré tout, en devenant photographe, je me suis raccroché à l’idée que j’allais prendre des photos sur ce monde ouvrier qui me passionne, me fascine et que je déteste aussi… Un autre élément m’a poussé à m’intéresser à la photographie sociale.
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