Vivendi : Yannick Bolloré et l’ombre du patriarche
incent Bolloré n’est pas homme à se laisser dicter sa partition. Encore moins quand celle-ci doit mettre en musique son retrait officiel de la vie des affaires après plus de quarante ans de raids boursiers et de coups de génie stratégiques, épicés de quelques coups bas. Alors le « caïman » a lui-même pris les choses en main pour tout régler au millimètre. La date d’abord : le 17 février, jour anniversaire du bicentenaire du groupe Bolloré. Le lieu des festivités ensuite : le manoir familial installé à Ergué-Gabéric, aux portes de Quimper (Finistère). Et les symboles, enfin, de son « dépouillement », comme il définit lui-même la transmission à ses enfants. « Mon père a beaucoup insisté pour que je reprenne son bureau chez Vivendi », raconte Yannick Bolloré, président du conseil de surveillance
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits