En 1903, Claudine (alias Colette) assiste à un concert qui la révolte. « Nous écoutons, pour la dernière fois, le triste orchestre qui joue tout le temps fortissimo. » Triste réputation d’une nuance qui n’est pourtant pas que raffut, qui a ses lettres de noblesse, sa belle histoire liée à la taille des salles, à la facture des instruments, aux progrès de la rumeur industrielle, à l’image du monde, du cosmos, de Dieu quelquefois.
La mention () accompagne l’expansion de l’orchestre. Un petit ouvrage anonyme publié à Londres vers 1710 observe: « ». Lequel fortissimo ( dans ce cas) ne doit pas être confondu avec « » (), ce que précise en 1724 Mr Pepusch, l’arrangeur du : « ». Mais ne cherchez