ROCK&FOLK: Quand découvrez-vous Suicide?
En 1980. Avec mon ami Ian McKaye, de Fugazi, nous étions chez Orpheus, le fameux disquaire sur M Street, à Washington DC. Nous cherchions “1919” de John Cale et, dans un coin, il y avait une pile du premier album avec sa pochette balafrée. Nous n’avions jamais entendu parler de ce groupe. A Washington, nous étions assez isolés. Cette ville était huit cent fois moins vivante que New York. Je connaissais James Chance mais n’avais jamais entendu parler de”. “Frankie Teardrop” demeure la chanson la plus intense que j’aie jamais entendue.