« Cette élection présidentielle, je la sens bien »
En cet te f i n de semaine, son QG de campagne fourmille. Installé à son bureau, Jea n-Luc Mélenchon a l’air détendu. Sans doute l’effet des sondages, qui l’ont pour certains donné cette semaine en troisième position, derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen mais devant Éric Zemmour et Valérie Pécresse. Et qui lui permettent d’espérer poser un pied sur la marche supérieure, celle du second tour. Les autres candidats de gauche ne cessent de le pilonner, mettant en cause sa « complaisance » avec la Russie de Vladimir Poutine, depuis l’attaque de l’Ukraine par ce dernier. Mais le candidat de La France insoumise, en habitué des campagnes, suit sa feuille de route : une marche le 20 mars à Paris avec une prise de parole place de la République ; un meeting à Marseille le 27 ; et le retour des meetings par hologrammes, à partir du 5 avril. Dans son viseur, la finale de la présidentielle.
Le 30 janvier, vous déclariez : « Ce sont les États-Unis d’Amérique qui sont dans la
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