« Le nationalisme de Mélenchon, Le Pen et Zemmour, c’est la guerre»
Les bombes pleuvent sur l’Ukraine et l’élection présidentielle française prend une tout autre dimension. Deux camps s’affrontent, là aussi, et en particulier à gauche où, faute d’espoir électoral, on continue à régler ses comptes idéologiques. Ainsi Jean-Luc Mélenchon doit-il désormais s’expliquer sur sa complaisance à l’égard de la Russie de Vladimir Poutine qui aujourd’hui mène la guerre en Europe. Une dérive idéologique de longue date, estime Anne Hidalgo, fruit de son obsession antiaméricaine. «Les masques tombent», dit la candidate socialiste qui estime que l’Insoumis en chef n’est pas l’avenir de la gauche, pas plus que de la France.
Il y a quelques jours, Vladimir Poutine a décidé de mettre en alerte la «force de dissuasion» russe, ce qui comprend notamment la composante nucléaire. Est-ce un coup de communication, de bluff, ou faut-il s’attendre à une escalade de plus?
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