Compilation raisonnée

ltiste, enseignant à la Hochschule der Künste de Berne, Kai Köpp s’intéresse à ce que dev(r)ait être le rapport idéal entre ripiénistes (l’orchestre) et solistes: un ripiéniste et les écrits de Berlioz, restent lettre morte. Le croisement des recherches de l’auteur, dans le dédale de la notation, lui permet de discerner ce qui allait de soi – selon le genre (instrumental, théâtral sacré, profane), le lieu, l’époque, – et n’avait donc pas besoin d’être prescrit. Toutes choses proscrites, aux XIX et XX siècles, au motif qu’elles n’étaient pas spécifiées. Aux interprètes, désormais, de faire leur miel de cette compilation raisonnée.