Guillaume Musso « Après Agatha Christie, j’ai découvert Simenon »
Fin du XIXe siècle. Une jeune femme au visage angélique est retrouvée morte en bord de Seine. Saisi par sa beauté, un employé de la morgue parisienne fait réaliser un masque mortuaire de la noyée qui, dupliqué en plusieurs milliers d’exemplaires, orne bientôt les salons du Paris bohème. À partir de ce fait divers célèbre, Guillaume Musso orchestre un thriller contemporain surnaturel.
Quelle fut votre première rencontre avec celle que l’on surnomme « la Joconde du suicide » ?
À 17 ans, j’ai découvert les photographies réalisées par Man Ray de ce masque mortuaire, illustrant la couverture de l’édition Folio d’, le roman d’Aragon. Elles m’ont ensuite, que je ressortais tous les ans de mes cartons sans parvenir à lui donner une suite : une jeune femme amnésique – mais bien vivante – est repêchée par la brigade fluviale de Paris. Conduite à l’infirmerie de la préfecture de police, elle disparaît. Commence alors l’enquête de Roxane, une flic fragilisée par une bavure récente.
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