Atos, la fin de la parenthèse enchantée
Sep 08, 2021
3 minutes
PAR EMMANUEL PAQUETTE
n ce mois de mars 2017, Thierry Breton a de quoi se réjouir. Atos, la société de servicesinformatiques qu’il dirige, s’apprête à rejoindre le cercle prestigieux des grands groupes tricolores. Une entrée triomphale dans l’indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, aux côtés du groupe pétrolier Total ou encore de l’empire du luxe, LVMH. L’ancien ministre de l’Economie et des Finances, revenu aux affaires neuf ans plus tôt, a mené au pas de course les rachats de Siemens IT Solutions et Services, d’une partie de Xerox puis de Bull et ses supercalculateurs, donnant
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