vouons-le d’entrée de jeu: certains mots sont intimidants. On a beau les entendre beaucoup dans le débat – comme si tout le monde savait de quoi il retourne –, ils n’en restent pas moins, pour la plupart d’entre nous, pauvres mortels, des continents obscurs. Et l’on se dit, vaguement complexé: « Un jour, je m’y pencherai. » Par exemple, l’adjectif « post-moderne ». La grammaire, bien sûr, est assez évidente, mais, quand on y songe, que peut donc désigner qui paraît ces jours-ci chez Gallimard, signé par l’historienne Bénédicte Delorme-Montini, dissèque cette notion.
Mais qu’y a-t-il donc après la modernité?
May 01, 2024
3 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits