JULIE DELPY VIDE SON SAC
Interview Karelle Fitoussi / Photo Alexandre Isard Paris Match. Quatre quinquagénaires qui dissertent de leurs amours, dont une qui écrit. On pense inévitablement à “Sex and the City”… Une référence ?
Julie Delpy. Je n’ai jamais réussi à regarder cette série plus de dix minutes parce que ce n’était pas pour moi de vraies femmes, et je ne comprends pas pourquoi plein de filles se sont identifiées à ces personnages. Moi, je ne ressentais absolument pas qu’il y avait des voix de femmes derrière. Et c’est drôle, parce que le show était, en effet, écrit par des hommes.
Votre série affirme que la vie peut (re)commencer à 50 ans. Vous aviez envie de changer les représentations concernant l’âge des femmes ?
« La femme est un animal aussi complexe que l’homme. On n’est pas des saintes ! »
Peu de séries en parlent positivement… Même “Big Little Lies” est très sombre. Mais 50 ans, ce n’est pas la fin de la vie! Les hommes ne se posent jamais la
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits