8. ALEXANDRA COUSTEAU L’océan en héritage
Sur tous les continents, à terre comme en mer, des hommes et des femmes luttent pour l’environnement. Cette semaine Match est parti à la rencontre d’une exploratrice dont les travaux sont salués par le Forum économique mondial.
Son combat: la surpêche, conséquence d’une surpopulation qui hantait son grand-père
Son père, Philippe, meurt quand elle a 3 ans. C’est le commandant au bonnet rouge qui l’initie au monde du silence
Son père avait promis de lui apprendre à plonger quand elle aurait 7 ans. Elle en avait seulement 3 lorsque, en 1979, l’hydravion à bord duquel il se trouvait s’est écrasé près de Lisbonne. Philippe, le fils préféré du commandant Cousteau, partait rejoindre la « Calypso ». Ce sera donc son grand-père qui se chargera d’initier Alexandra au « monde du silence », une expression forgée pour Philippe qui, lors de sa première plongée, voulait à toute force parler sous l’eau… Chez les Cousteau, on apprend donc la plongée à 7 ans, puis on découvre la vie sur le pont de la « Calypso ». Partageant son enfance entre l’Amérique et la France, la petite fille passe le plus clair de son temps en mer. À 11 ans, elle a déjà traversé le Pacifique Sud et réalisé plus de plongées que n’importe quel amateur, entendant son grandpère s’inquiéter de la disparition de poissons dans les endroits où ils grouillaient jadis.
Le nom de Cousteau est lié à l’émerveille ment
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