Ces radars devenu us fous
Nul n’est infaillible… et surtout pas ces milliers d’appareils qui crépitent des dizaines de milliers de fois par jour! Le dernier bilan annuel de l’ANTAI * le prouve : seuls 65 % des quelque 19 millions de flashs émis pour des immatriculations françaises ont donné lieu à un avis de contravention. Alors oui, une bonne partie des crépitements non transformés résultent de dégradations, notamment lorsque les radars “cellophanés” réalisent des photos inexploitables. Néanmoins, les obstructions de cabines ou même l’illisibilité de quelques plaques d’immatriculation ne justifient pas à elles seules le différentiel de plus de 6 millions.
Des erreurs pas si rares
En effet, erreurs humaines ou bugs électroniques sont aussi à l’origine des flashages non “transformés”. L’administration se rend parfois compte des loupés, faisant machine arrière juste après avoir sanctionné une, nombre d’internautes signalent ainsi avoir reçu un PV, puis un avis d’exonération… sans même avoir émis de contestation. Mais souvent aussi le système s’emballe et rien ne vient le freiner. En témoignent ces automobilistes qui reçoivent plusieurs PV (jusqu’à 55 !) sans avoir commis la moindre infraction. Ballot ! Après avoir lu toutes les anecdotes – pas du tout anecdotiques – que nous avons relevées, nul doute que vous suivrez attentivement le conseil délivré par depuis des années : ne jamais se précipiter pour payer un PV. Surtout si vous doutez d’avoir commis une quelconque faute !
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