Les méthodes douteuses d’Anticor
Anticor doit encore patienter. Le Premier ministre, Jean Castex, a repoussé jusqu’au 2 avril sa décision de renouveler ou non l’agrément accordé à l’association de lutte contre la corruption qui lui permet de se constituer partie civile dans les affaires politicofinancières. Cet ajournement survient alors qu’Anticor mène une campagne dans les médias et sur les réseaux sociaux pour revendiquer le précieux sésame et que, dans le même temps, la mise en évidence de dysfonctionnements et de zones d’ombre sème le trouble autour de l’association.
La loi impose cinq conditions pour que l’agrément soit délivré. Selon les éléments recueillis par le JDD – et qui proviennent pour la plupart de membres d’Anticor –, le respect de deux de ces critères, relatifs au financement et à la
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