LE CAM APRИS LA TEMPКTE
CLASSÉ QUATRIÈME, LE VÉTÉRAN DU VENDÉE GLOBE, DEVENU UN HÉROS, S’EST RÉFUGIÉ AUPRÈS DE SON CLAN FAMILIAL QUI L’A PORTÉ PENDANT LA COURSE
A 61 ans, il a prouvé qu’avec un budget restreint (800 000 euros tout de même), une team de pro, un talent et un moral bien trempés, on pouvait damer le pion aux bolides des mers. Après avoir sauvé Kevin Escoffier, naufragé sur son radeau de survie dans les quarantièmes rugissants, et réparé « avec les moyens du bord » deux graves avaries sur sa coque, Jean Le Cam a échappé à des moments de dépression qui ne furent pas tous… atmosphériques.
DU PAIN, DU VIN ET DE L’AMOUR : À TERRE, IL A VITE RETROUVÉ LE GOÛT DES BONNES CHOSES
« On a vécu un truc de malade. Je n’avais jamais connu ça. » Après quatre-vingts jours de haute mer, l’inoxydable Jean Le Cam savoure les plaisirs terrestres. Il a retrouvé Anne, sans qui, nous dit-il, il n’aurait pas pu tenir, et la sérénité de celui qui a accompli son devoir avec panache. L’admiration et le respect de ses pairs , c’est une place de con, non ? »
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